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 (m) So you think you can love me & leave me to die ? LOUIS.

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Spencer Wellington

Spencer Wellington


Messages : 24
Date d'inscription : 16/07/2010
citations : L'amour est une catastrophe magnifique : savoir que l'on fonce droit dans le mur, et accélérer quand même.

no way to be
♠ âge du personnage: 23
♠ activités: Publiciste
♠ relations:

(m) So you think you can love me & leave me to die ? LOUIS. Empty
MessageSujet: (m) So you think you can love me & leave me to die ? LOUIS.   (m) So you think you can love me & leave me to die ? LOUIS. I_icon_minitimeJeu 22 Juil - 15:14

LOUIS (non négociable), nom AUCHOIX.

feat. c'est assez libre. C'est votre personnage, donc l'avatar doit vous inspirer. Alors à voir avec moi par MP, proposez plusieurs avatars qui vous conviennent et qui correspondent au caractère du personnage et on devrait s'entendre, je ne suis pas difficile, l'important c'est qu'il soit joué !

♠ âge : 24 ans. ♠ nationalité : américaine. ♠ profession (études) : Ce que vous voulez, sachant qu'il a fait des études à Princeton. ♠ orientation sexuelle : Heterosexuel. ♠ groupe : Alive.


no way to be
♠ J'aime laisser la partie "histoire" libre puisque c'est plus évident afin de se familiariser avec le personnage (il vaut mieux créer son background soi même.) Sachez simplement qu'il vient d'une famille aux revenus modestes, et qu'il a été accepté à Princeton grâce à une bourse du mérite : il est littéralement brillant. Autre détail très important : son père s'est donné la mort quand il n'avait que six ans, et sa mère ne s'en est jamais remise. Ceci est très important à respecter puisque la mort de son père est un peu le ciment de sa relation avec Spencer. Quant à son caractère, Louis est un garçon passionné, torturé même. Là aussi, j'ai envie de laisser le champ assez libre, mais sachez que c'est un artiste, un homme qui aime à dévorer des drames romantiques et pour qui la vie ne vaut pas la peine d'être vécue sans sentiments forts, exacerbés. Sa fierté n'est pas une entrave et l'amour est un sentiment pour lequel on doit tout sacrifier. Il est très pessimiste sur la nature humaine et la société de consommation qu'il déteste, c'est un garçon lucide, mélancolique, peu loquace, qui n'aime pas parler pour ne rien dire. Il déteste la superficialité, la richesse et un nombre incalculable de choses, ce qui rendait sa relation avec Spencer plutôt surprenante à la base. Louis est un garçon un peu chevaleresque, pas à sa place dans une société individualiste et égoïste. Libre à vous de rajouter d'autres caractéristiques. Sachez qu'il n'a pas eu beaucoup de conquêtes féminines, il a besoin de sentiments pour s'engager : il est très cérébral, et qu'au collège et au lycée, la maturité avec laquelle il amorçait les relations amoureuses (à la façon des livres dont il se nourrissait) avait tendance à faire fuir les filles idiotes et volages à cet âge. Le reste, c'est à vous de voir, le temps que ça colle à ce court portrait.

never alone
♠ La relation entre Louis et Spencer (qu'il connaît sous son véritable prénom, Callista - Callie - puisque Spencer est l'identité qu'elle s'est forgée depuis son arrivée en Ecosse) est longue et complexe. Je vais la décrire très brièvement ici mais je vous invite à aller lire ma fiche, dont une très longue partie porte sur cette relation. Louis & Callie (que tout sépare) se sont rencontrés sur le campus de Princeton, à la bibliothèque. Callie, l'ancienne garce en chef, la fille qui comble le vide entre ses reins pour oublier le vide de son coeur, décide de quitter ce milieu de débauche gangrénée pour Princeton. Là bas, elle peut être elle même et non pas telle qu'on attend qu'elle soit, c'est à plus simple, plus proche des gens, plus cool aussi. Moins ravissante idiote, moins garce. Elle était tout ce que Louis aurait pu détester, mais pourtant, le courant passe, quelque chose que l'on peut associer à un coup de foudre, du moins du côté de Callie, qui découvre des réactions physiologiques dont elle ignorait jusqu'alors l'existence. Ils terminent la journée l'un sur l'autre, dans la moiteur d'une salle de classe abandonnée et forment dès lors un couple. Callie tombe amoureuse. Pour la première fois de sa vie. C'est brutal & douloureux. Louis, lui, s'amuse avec elle, du moins au début. Il aime l'emprise qu'il a sur le corps désirable de cette fille de riches, et s'amuse à la pousser toujours plus loin dans ses retranchements. Il a le contrôle, et en profite : il aime à lancer des paris stupides de plus en plus poussés, souvent sexuels pour voir jusqu'où elle est capable d'aller, et aime à la prendre dans n'importe quel lieu public espérant écorner un peu son image. Les premiers mois se passent à merveille, selon le plan.

Parce que oui, si pour Callie leur histoire s'apparente à un coup de foudre, il n'en est rien pour Louis. Tout a été prémédité : en effet, le garçon est chargé d'une mission par sa mère : détruire Callie Wellington, la rendre dépendante de lui, de son amour, lui offrir quelques mois de pur bonheur et tout lui reprendre brutalement. Pourquoi ? Parce que la mère de Callie entretenait une liaison avec le jardinier de la famille (le père de Louis) et l'a largué comme un moins que rien, pour passer à un nouveau jouet. L'homme, éperdument amoureux, n'a pas supporté et a mis fin à ses jours, laissant sa femme dévastée, et son fils orphelin à six ans... La mère de Louis, dont l'esprit s'étiole depuis cet incident, a ruminé sa vengeance : elle se vengera de la famille Wellington en leur arrachant leur bien le plus précieux : leur fille unique, une peste volage, narcissique et méchante. Du moins c'est ce qu'elle croit. Cependant, après quelques mois, Louis sent grandir en lui quelque chose qu'il connaît que trop bien : l'Amour avec un grand A. Le sentiment de manque quand Callie n'est pas là, et les délicieuses décharges électriques lorsque sa peau touche la sienne. Jugeant que tout ça est allé trop loin, il se repentit et fait part à sa mère son envie de cesser cette mascarade, si éloignée de l'homme plutôt bon qu'il est en règle générale afin de vivre une véritable histoire avec la jeune femme, à mille lieues de la harpie que sa mère lui avait décrite afin de le forcer à accepter. Cependant, cruelle et maligne, sa mère parvint à lui insuffler le doute et lui demande de la larguer, pour son bien à lui. Après tout, sans elle, se seraient-ils adressés la parole ? Non. Leur histoire peut-elle fonctionner, alors qu'elle est basée sur un terrible mensonge ? Là encore, la réponse est non. La mère de Louis possède un sens de la rhétorique impressionnant, et Louis, le coeur lourd, décide de quitter Callie, bien que cela le fait autant souffrir qu'elle. Pire encore, il lui dit la vérité. Brute de décoffrage. Ainsi, elle le détestera pour de bon, et il ne regrettera pas sa dure décision.

Pourtant, rien ne passe comme prévu. Callie ne montre rien, et redevient subitement cette fille dont on lui a dressé le portrait avec un mélange de jalousie et d'admiration : cette garce froide, sûre d'elle et sans coeur. Elle encaisse relativement bien, le toisant de toute sa hauteur et le sommant de partir. En réalité, elle fait une tentative de suicide dès qu'il a tourné les talons, et reste trois mois dans le coma. Pendant ce laps de temps, il lui écrit tous les jours, mais la famille Wellington intercepte les lettres, et Callie n'en connaît pas l'existence. Après son réveil, la jeune femme se fait interner dans une clinique privée pour retrouver le goût à la vie. C'est la dernière fois qu'il a suivi sa trace. Cela fait trois ans. Il ne se passe pas pas un jour sans que Louis ne pense à elle. Il n'a pas pu aimé une autre femme qu'elle. Il a peur de ce que son amour dévorant peut causer comme dégâts. Pour son travail, il a une mission de quelques mois en Ecosse. Et c'est là, qu'il la croise dans la rue, par mégarde. Stupeur. Battements de coeur accélérés. Sourire. La première rencontre est brève :

« Callie... ?! C'est toi ? Je... je sais pas quoi dire. J'ai tellement attendu ce moment que je n'y croyais plus... Qu'est-ce que tu fais ici ? »
« Callie est morte. Tu l'as tuée. Je m'appelle Spencer maintenant. Et je suis pressée. »


N'hésitez pas à m'envoyer un MP pour plus de détails, surtout pour le futur des deux personnages, parce que j'ai déjà quelques idées. Bien sûr, je vénérerai à vie celui ou celle qui prendra ce personnage. Par contre, j'aimerais quelqu'un d'actif. J'entends par là, pas forcément quelqu'un qui passera tous les jours, postera à la vitesse de la lumière et tout, mais une personne qui ne lâchera pas le personnage au bout de deux semaines !! Quant au RP en lui même, je me fiche de la longueur que vous fassiez vingt lignes ou cent n'a aucune importance, je préfère la qualité à la quantité, c'est tout. C'est pourquoi j'aime bien une syntaxe & un orthographe corrects. Je ne suis pas à cheval sur les petites fautes, bien sûr, mais j'aurais du mal à RP avec quelqu'un qui fait douze mille fautes par ligne, ou qui oublie la ponctuation. Mais à part ça, j'suis pas un tyran (:
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