Ivory-Carter Roosevelt
Messages : 15 Date d'inscription : 19/07/2010 pseudo : sparklingdiamond crédit : cristalline (avatar) citations : " Chuck, you know that I adore all of God's creatures and the metaphors that they inspire, but those butterflies have got to be murdered! "
no way to be ♠ âge du personnage: 22 yo ♠ activités: ( profession ou études ) ♠ relations:
| Sujet: (m) SALLING ♦ forgive me, love me like the very first day Lun 19 Juil - 16:05 | |
| © tumblrfrederick "freddy" lennon fields (négociable)feat. mark salling âge : 23 yo nationalité : écossais avec origines latino profession (études) : barman orientation sexuelle : hétérosexuel groupe : the alive have a life no way to be Lorsqu'il est avec des amis ou en public, il est blagueur, extraverti, hyperactif, énervant, narcissique, et j'en passe. Alors que lorsqu'il est plus intime, comme avec Ivory, il est compréhensif, calme, doux, attentionné. Il sait s'adapter aux gens, alors disons qu'il n'amènera pas une fille extrêmement timide sur une scène pour qu'elle chante, qu'elle ait du talent ou pas. Il respecte les décisions que ses proches prennent, et il sait admettre ses erreurs.
Pour l'histoire, c'est tout à fait libre. Sachez seulement que sa mère est latino et son père est écossais. Il a rencontré Ivory au lycée. Pour le reste, carte blanche. never alone Frederick et moi, nous nous connaissons depuis que nous avons commencé le lycée. En fait, nous étions assis l'un à coté de l'autre en sciences et nous étions donc binômes pour le reste de l'année. Notre amitié à commencé là, et immédiatement nous sommes devenus inséparables. Il était celui que j'appellais quand les garçons qui me plaisaient me disaient qu'ils ne voulaient pas de moi, ou encore quand mes parents me rendaient la vie infernale, ou encore lorsque je voulais simplement rigoler avec lui. Jamais je n'aurais cru que dix ans plus tard je tomberais amoureuse de lui. De son coté, j'ignore depuis quand ses sentiments datent, mais je sens qu'il m'a caché son amour pendant un bon bout de temps.
« Ivory ? T'es là ? » Je sursautai et failli perdre la page à laquelle j'étais attardée dans mon fabuleux livre trouvé dans un marché aux puces. La main posée sur mon thorax, j'élevai ma voix afin qu'il sache où me trouver. « Dans la bibliothèque, Freddy. » lui dis-je d'une voix douce, assez forte pour être entendue. Je le vis alors entrer dans la pièce, à moitié trempé. Je mis immédiatement mon livre de coté et me hâtai pour aller l'aider un peu. Je lui retirai sa veste délicatement et l'accrochai dans la salle de bain. Je revins aussitôt avec une serviette et la lui donnai. « Je n'en valais pas la peine, tu n'avais pas à venir avec cet orage. » murmurai-je, même si en même temps je me réjouissais qu'il ait pû venir me retrouver après son travail. « Tu en vaux largement la peine, je t'assure. » Freddy était mon meilleur ami, et peu importe les circonstances, il arrivait toujours à venir me réconforter. Je le pris par la main et l'amenai dans le salon près du feu. J'avais toujours été ainsi, toujours à en faire trop pour les autres sans jamais penser à moi. Un silence régna pendant quelques secondes avant que Freddy ne le brise. « Alors, qu'est-ce qui t'arrive, ma belle ? Explique-moi, tu semblais tellement bouleversée au téléphone... » me dit-il tout bas. Il n'y avait personne à la maison, mais je me sentais rassurée lorsqu'il me parlait de cette voix attendrissante et basse. Je baissai les yeux et je joins mes mains ensemble, j'hésitai un moment, puis je finis par arriver à parler. Ma gorge s'était serrée, mais lorsque je levai mon regard vers le sien, mes peurs disparurent. « Il m'a trompée... » commençai-je, sauf que je n'arrivai pas à continuer et je fondis en larmes avant même d'avoir réellement commencé. Je me blottis dans ses bras, même si il était encore à moitié mouillé. Il me serra contre lui, compatissant. Je senti alors sa main masculine carresser mes cheveux blonds d'une douceur inouïe que je ne connaissais pas de lui jusqu'à cette nuit-là. Il déplaça mes cheveux et dénuda ma nuque. Je sentis alors son visage qui s'en approcha pour y déposer un baiser ultime, qui marqua mon esprit. J'étais dos à lui, quand alors il me tourna vers lui et approcha mon visage du sien. « Je ne te ferai jamais souffrir, je te le promets. » murmura-t-il, avant de sceller ces paroles par un baiser passionné. Physiquement, j'aurais voulu le repousser en premier lieu, mais mentalement, je n'en avais aucunement envie. Je serrai sa chemise et l'attirai vers moi. Je sentais ma nuisette s'humidifier au contact de ses vêtements trempés, le goût de ses lèvres glacées contre les miennes, ses mains tremblantes de froid me serrant malgré tout. Je ressentais, à ce moment, un sentiment de pure jouissance. Jamais je ne m'étais sentie aussi heureuse, libérée, à l'aise, et j'en passe. Il passa alors une main sous mes jambes, l'autre dans mon dos, et me souleva. Il me traîna jusqu'à ma chambre. Était-ce la pire ou la meilleure chose qui me soit arrivée de toute ma vie ? Je n'en savais rien, c'est pourquoi le lendemain je m'enfuis, ne revenant que le soir pour y trouver une note. Froissée, apparement avait-elle été effacée plus d'une fois, ou plutôt recommencée.
" Chère Ivory,
Je me rends compte que je t'ai effrayée en couchant avec toi. Je t'avais promit de ne pas te faire souffrir, mais je n'ai pas tenu cette promesse, et je le regrette. Tu étais si vulnérable, si fragile, je n'aurais jamais dû. Je n'ai jamais eu la pensée de vouloir profiter de toi, tout ce que j'ai fait hier, je l'ai fait car je t'aime. (bon, j'écris comme une fille maintenant) Voilà, c'est dit. Ou plutôt écrit. J'aurais préféré te le dire en face, mais tu ne voudras certainement pas me revoir avant très longtemps, et crois-moi Ivory, je comprends ça. J'attends de tes nouvelles, je suis infiniment désolé.
Freddy. " | |
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