be mine ♦ eve a. london;

angelica eve london .

« blah blah blah blah blah blah blah blah blah blah blah blah blah blah blah blah blah blah blah blah blah. »

« te souviens-tu de notre rencontre ? »

je tiens à présenter un minimum le concept de mes prédéfinis. tout ce que j'ai raconté là est modifiable. si un lien vous plaît, mais que quelques détails vous semblent à ajouter, à supprimer, à changer, c'est tout à fait possible. ici, ce ne sont que des idées générales, et c'est pour ça que souvent je laisse l'ambiguité en passant par des 'peut-être', ou par plusieurs possibilités, préférant mettre au point le lien avec la personne intéressée. ces descriptions sont surtout là pour stimuler l'imagination et créer un départ, d'où le chemin qui en partira dépendra de la personnalité (dans le sens caractère) de l'intéressé(e). n'hésitez pas !

THE CALL OF A VOICE ♦ Etendue dans l’herbe, là, sous un arbre dont l’ombre fraîche m’isolait agréablement du soleil, je me suis mise à chanter. Tu es passé par ici, tu m’as entendue… Et là, coup de foudre. Ma voix t’a scié sur place, cloué au sol ; ton cœur a manqué un battement et tes yeux ont cherché la source de cette magnifique mélodie venue chatouiller agréablement tes oreilles. Peut-être m’as-tu repérée mais n’as-tu pas osé t’approcher de moi, et que depuis ce jour tu cherches un moyen de m’aborder, d’attirer désespérément mon regard ? Ou peut-être ne m’as-tu pas trouvée et cherches-tu aujourd’hui encore le son de cette voix qui hante inlassablement tes rêves. libre, homme de préférence.

SEX FRIEND ♦ Toi et moi, on aime se faire plaisir. Il n’est pas rare de nous voir finir entre deux draps, nos deux corps mis à nus entrant en une délectable fusion l’un avec l’autre. Je ne sais plus comment cela à commencé… Peut-être un soir où l’on était bourré ? En tout cas, c’est depuis une habitude, et régulièrement nous couchons ensemble sans aucun complexe. Amoureux ? Oh non, loin de là. Je qualifierais plutôt notre relation d’amitié, et peut-être même sommes nous bêtement meilleurs amis. En tout cas, nous ne nous offrons que nos deux intimités avides de caresses, mais pas nos âmes éprises parce qu’il n’y a pas de romance, pas d’ambiguïté entre nous sur ce plan là. libre, homme.

LIKE A SISTER ♦ Quand je suis arrivée à Edimbourg, tu es la première personne à être venue vers moi. La première à m’avoir parlé, à avoir cherché à savoir d’où je venais, pourquoi j’étais si démunie, si démoralisée. Tu as été ce sauveur inespéré, cette épaule sur laquelle je pouvais me reposer, cette oreille au creux de laquelle glisser mes confidences les plus douloureuses sans crainte d’être trahie. Depuis, tout cela n’a pas changé. Je ne dirais pas que nous sommes amis, non. C’est… plus profond, plus particulier que cela. En réalité, je te considère comme mon grand frère, comme ma grande sœur, et je te voue une admiration sans limites. Pour toi, je ferais tout. Je te défendrais jusqu’à la mort s’il le fallait, parce que c’est toi qui m’a remise sur le chemin de la vie, de la recherche d’un bonheur qui m’habite à nouveau. libre, plutôt femme mais pourquoi pas un homme.

YOU'RE A LIAR ♦ Tu n’es qu’un traître. Oui, je te faisais confiance ; oui, j’aimais les moments passés avec toi… Mais quand je pense que tu m’as humiliée, blessée, je me dis que j’ai été bien conne de t’avoir fait partager cette passion de la musique qui m’habite. Tu es une chimère démoniaque. Ta jalousie, ton envie a dévoré ton âme lorsque tu m’as entendue chanter, vue jouer des mélodies qui te plaisaient tant. Tu me complimentais beaucoup. Et moi, j’en étais flattée ! Quelle imbécile, quelle naïve imbécile j’ai fait. Quand je pense que tu t’es approché de moi, que tu as gagné mon amitié, que tu m’as poussée à te faire partager ma passion… Je n’ai rien vu venir. Je t’ai prêté mes partitions, comme tu me le demandais ; je t’ai montré ce petit cahier qui me sert de brouillon, qui donne naissance à toutes mes compositions. Et toi… Toi ! Tu m’as volé mes idées, tu m’as volé des chansons qui m’étaient chères, des bébés qui auraient eu du succès, j’en suis sûre. Tu les as modifiées à ta sauce, et aujourd’hui… Tu te produis avec. Je te hais ! Mais je n’ai aucun moyen de reprendre ce qui m’a été dérobé. Tu me rends folle de rage chaque fois que je te croise ou que j’entends parler de toi. Je me sens tellement impuissante… Et, détruite de l’intérieur, je ne résiste pourtant pas à cette force malsaine qui me pousse à venir voir chacun de tes concerts et à me sentir plus abattue encore. Ta célébrité devrait être mienne, et je ne rêve plus que de te faire payer ta traîtrise. Seulement, tu es plus fort que moi et je le sais. Suis-je condamnée à rester dans ton ombre tout le restant de ma vie ? libre, homme ou femme.

I'M YOUR ALIBI ♦ Je t’ai vu un jour, dans une petite supérette, un magasin quelconque, une boutique plus ou moins luxueuse, plus ou moins connue. Je ne sais plus ce que tu volais, je me souviens simplement que tu étais affolé, indiscret, que le plus petit novice en la matière t’aurait repéré. J’ai senti chez toi cette impression de dénuement, cette envie dans tes yeux lorsque tu regardais les gros clients ne comptant plus le nombre d’articles s’échouant au fond de leur panier déjà débordant de marques et de superflus inutile. Et puis j’ai compris. Parce que je connais ce sentiment, parce que moi aussi je manque d’argent, que parfois ça me démange de dérober un petit quelque chose, une friandise, un nouveau parfum, une fringue de marque que tout le monde admirerait… Je ne le fais pas. Parce que j’ai l’essentiel : vêtements décents, guitare, maquillage, papier à musique et crayon gris, et puis de quoi alimenter mes cinquante kilos bien répartis. Mais j’ai compris que ta main s’échappe malgré toi, que c’était sûrement la première fois que tu craquais. Que tu volais. Ai-je bien dit que le plus aveugle des imbéciles t’aurait repéré ? Eh bien, c’est exactement ce qui s’est passé. L’un des gérants, ou l’un des caissiers peut-être, t’a vu et t’a interpellé. Alors, sans même que j’aie eu le temps de réfléchir, une pulsion, une force innée et puissante m’a envoyée à ta rescousse. De mon naturel avenant et chaleureux, de mon sourire doux et charmeur à la fois, je t’ai fourni une excuse, un « alibi, » et malgré les doutes du commerçant, tu t’en es sorti sans rien. Tu n’as pas compris et m’a remerciée, bafouillant quelques mots qui m’ont fait rire. Ce n’était rien, vraiment. La suite de cette histoire ? Je ne la connais pas encore. pris, tobias.

BOYFRIEND FOR A DAY ♦ Nous sommes sortis ensemble. Cela fait plus ou moins longtemps que nous avons rompu, peut-être d’un commun accord, peut-être pas. Nous aimions-nous ? Sans doute. Oui, oui je crois que je t’aimais. Mais quelque chose n’allait pas. Tu n’étais pas celui que j’imaginais en chantant mes chansons d’amour, tu n’avais pas la personnalité du prince charmant dont je rêve. Je t’aimais, mais pas assez. Ou bien c’était peut-être toi, qui m’aimais trop, qui tenait plus à moi que moi à toi, et puis que cette sensation me faisait un peu peur. Tu étais tendre, attentionné, chaleureux, charmant, fidèle, de ce genre d’homme qui se donne sans compromis et ouvre son cœur, ses bras volontiers. Mais nous n’arrivions pas à être heureux, parce que tu sentais cette tique en moi, ce sentiment que ce n’était peut-être pas toi. Tu comprenais que mes pensées voguaient vers d’autres horizons, et que la plage sur laquelle j’aurais voulu que mon âme échoue n’était peut-être pas la tienne. Je suis sincèrement désolée pour nous deux, et ça m’a fait du mal de me séparer de toi parce que tu m’étais tout de même cher, mais c’est mieux ainsi. Crois-moi. Et aujourd’hui, penses-tu encore à moi ? Me détestes-tu ? As-tu l’intention de me séduire à nouveau ? Ne t’es-tu pas remis de notre rupture ? libre, homme.

NIGHTLIFE ♦ Nous sommes sortis ensemble, mais sans aucun sentiment sérieux. Peut-être s’est-on connu au cours d’une soirée, après un concert, par quelqu’un d’autre qui nous aurait présenté… En tout cas, tu m’attirais, et je t’attirais aussi, mais ce n’était que physique. Nous jouions à ce jeu si délectable de séduction, au chat et à la souris, aux aimants qui se repoussent puis s’attirent. Ca n’a duré qu’une nuit, deux ou trois peut-être. Disons qu’on a pris du bon temps, mais qu’on ne s’est plus trop revu, ou bien dans des circonstances différentes. Oui, on a pris du bon temps, mais… Ca s’est arrêté là, d’un commun accord, et peut-être à ce moment-là avais-tu déjà une petite amie. Je ne l’ai jamais su, et toi non plus n’as jamais su rien de moi. pris, davis.

MURDER ♦ 1 – Sans toi, je ne serais jamais morte. Si tu n’avais pas été au volant de cette voiture, ce soir-là où je sortais juste d’un bar sur Princes Street, tu ne m’aurais jamais renversée, et je ne serais jamais tombée dans le coma. Mon cœur n’aurait pas cessé de battre. Je n’aurais pas vu la lumière au bout du tunnel, lumière à laquelle j’ai été arrachée pour me réveiller sur un lit d’hôpital, vivante, ou du moins c’est ce que je crois. C’était toi le conducteur peut-être aussi ivre que moi, toi qui n’as pas su freiner à temps. Tu n’as rien eu. Puis tu as culpabilisé, et tu es venu me voir plusieurs fois, lorsque mon esprit était déconnecté de mon corps et que j’étais suspendue entre la vie et la mort. Je n’en ai jamais rien su, et je ne t’en ai jamais voulu. À vrai dire, je n’y ai pas repensé, préférant supprimer ce morceau d’existence qu’il m’a été très difficile de franchir. Mais toi, toi tu y penses encore, tu t’en veux, et tu essayes depuis de jouer les anges gardiens sans que je ne le sache.
2 – Sans toi, je ne serais jamais morte. C’est toi, mon meurtrier, celui qui m’a renversée. Jamais je ne t’ai revu, ou bien peut-être ne t’ai-je pas reconnu, n’ai-je pas su que c’était toi. Dans mon esprit, cet incident dont j’ai eu du mal à me remettre est un accident, un simple accident… Mais c’est faux, et j’en suis inconsciente. Ce n’était pas un hasard… Tu le voulais, me… tuer ? Pourquoi, je ne sais pas… Et depuis que tu as appris ma sortie du coma, que prépares-tu ? As-tu l’intention de retenter ta chance ? libre, homme ou femme.

FROM LONDON ♦ Quel drôle de coïncidence ! Nous nous fréquentions, autrefois, à Londres. Nous étions peut-être amis, peut-être cousins, peut-être ennemis, mais en tout cas nous nous sommes revus et reconnus l’autre jour. Tu as déménagé à Edimbourg en même temps que moi, et voilà que tu resurgis à nouveau dans ma vie. Pur hasard, ou bien jeu du destin ? Que penser d'un lien renaissant des cendres d'une histoire sur laquelle j'avais enfin réussi à faire un trait ? libre, homme ou femme.

MISSING PIECE OF ME ♦ Si ma jumelle avait vécu, elle aurait été exactement comme toi, j’en suis certaine. Peut-être pas forcément physiquement, mais de personnalité. Peut-être est-ce que je ressens une telle impression parce que tu me ressembles ? En tout cas, dès que tu trouves à proximité de moi, tu me troubles profondément. Mes yeux ne peuvent plus se dévisser de ta silhouette, de tes traits derrière lesquels Eve, la défunte Eve, semble jouer à cache-cache. Cette façon que j’ai d’être mal à l’aise à ton contact… Ce trouble en moi… Ce pouls qui s’accélère… Je n’ai jamais été aux prises avec une telle émotion, si spéciale et si forte… Serais-tu la réincarnation de ma sœur décédée ? En tout cas, tu te fais des idées, tant mon comportement en ta présence est ambigu. Tu dois te demander si je n’ai pas eu un genre de coup de foudre, si je ne suis pas un peu dérangée. Ca te gène aussi, tu hésites même à m’en parler tant mon regard dérange. Rassure-toi, je ne suis ni amoureuse ni physiquement attirée par tes jolies formes… Je suis juste… Dérangée de l’intérieur, chamboulée sans trop savoir si c’est bon ou pas… Mais ça, tu ne le sais pas. pris, spencer.

« raconte moi une histoire ♥ »

à rajouter :
- Heath (écrire le lien commencé en rp);
- Jack (finir de définir et écrire le lien);
- Arcady (écrire le lien commencé en rp);
- Cloi (écrire le lien);
- Tobias (écrire le lien);
- Spencer (écrire le lien);
- Davis (écrire le lien);
- Neil (écrire le lien).

Dernière édition par Eve A. London le Ven 6 Aoû - 12:49, édité 19 fois

uc. vous pouvez poster :3

Moi moi je voudrait un lien be mine ♦ eve a. london; 920755

Mais avec plaisir :) une idée ? --> []

Plutôt positif déjà dirait-je. Ensuite ensuite ensuite.... Tu as besoin de quelque chose en particulier peut-être ?

Eh bien... non, et à vrai dire je n'ai pas encore réfléchi à des prédéfinis. Après, Cloi s'est enfuie, Eve a fugué aussi mais... je sais pas si ça collerait au niveau des dates, pour une rencontre à ce moment de leur vie.

Sans nécessairement certes croisées pile quand toute les deux on fugué, Eve auront très bien pus tomber sur Cloi quand celle-ci venait de débarquer en ville. Perdue, ne sachant pas où aller, Eve aurait pus se reconnaitre en la jeune femme et lui proposer un peu d'aide. De la un lien d'amitié se crée entre elle. Mais alors soudain Cloi devient distante voir méchante avec Eve puis revient vers elle en s'excusant... Ceci arrive plusieurs fois, Cloi refuse de s'expliquer la dessus et depuis c'est très mitigé entre elle. - en fait c'est le frère jumeau, Tom, qui ne supporte pas Eve est de ce fait quand il à le "contrôle" rien à faire il rejette la blonde. - ?

Ca me fait tout à fait, comme lien :) désolée d'être si légère dans mes réponses mais c'est vrai, tout colle et j'aime bien be mine ♦ eve a. london; 20517

Au contraire c'est super si ça te vas be mine ♦ eve a. london; 324142

Citation :: I'M YOUR ALIBI Je t’ai vu un jour, dans une petite supérette, un magasin quelconque, une boutique plus ou moins luxueuse, plus ou moins connue. Je ne sais plus ce que tu volais, je me souviens simplement que tu étais affolé, indiscret, que le plus petit novice en la matière t’aurait repéré. J’ai senti chez toi cette impression de dénuement, cette envie dans tes yeux lorsque tu regardais les gros clients ne comptant plus le nombre d’articles s’échouant au fond de leur panier déjà débordant de marques et de superflus inutile. Et puis j’ai compris. Parce que je connais ce sentiment, parce que moi aussi je manque d’argent, que parfois ça me démange de dérober un petit quelque chose, une friandise, un nouveau parfum, une fringue de marque que tout le monde admirerait… Je ne le fais pas. Parce que j’ai l’essentiel : vêtements décents, guitare, maquillage, papier à musique et crayon gris, et puis de quoi alimenter mes cinquante kilos bien répartis. Mais j’ai compris que ta main s’échappe malgré toi, que c’était sûrement la première fois que tu craquais. Que tu volais. Ai-je bien dit que le plus aveugle des imbéciles t’aurait repéré ? Eh bien, c’est exactement ce qui s’est passé. L’un des gérants, ou l’un des caissiers peut-être, t’a vu et t’a interpellé. Alors, sans même que j’aie eu le temps de réfléchir, une pulsion, une force innée et puissante m’a envoyée à ta rescousse. De mon naturel avenant et chaleureux, de mon sourire doux et charmeur à la fois, je t’ai fourni une excuse, un « alibi, » et malgré les doutes du commerçant, tu t’en es sorti sans rien. Tu n’as pas compris et m’a remerciée, bafouillant quelques mots qui m’ont fait rire. Ce n’était rien, vraiment. La suite de cette histoire ? Je ne la connais pas encore. libre, homme ou femme.

D'accord :) il est pour toi alors ♥. Par contre : veux-tu le faire en rp ? et puis si non : comment la chose va t-elle évoluer ? J'imagine bien Eve intervenir, et puis s'en aller comme ça, comme si elle n'avait rien fait, laissant Tobias planté là alors qu'il comprend pas pourquoi elle l'a sauvé. Et donc après, peut-être voudrait-il la rattraper pour lui parler, parce que cette intervention miracle l'intrigue ? Qu'en penses-tu ?

En rp, non, parce que d'après moi.. Ca ne doit pas s'être passé récemment puisque Tobey à un job régulier etc... Donc, je pense comme tu l'as bien dit, qu'il aurait voulu savoir pourquoi et qu'il aurait pas compris. Ca l'intrigurait beaucoup et il voudrait absoluement comprendre.

Donc, on envisage une seconde entrevue, mais dans quel contexte? 8)

Eve A. London a écrit:: NIGHTLIFE Nous sommes sortis ensemble, mais sans aucun sentiment sérieux. Peut-être s’est-on connu au cours d’une soirée, après un concert, par quelqu’un d’autre qui nous aurait présenté… En tout cas, tu m’attirais, et je t’attirais aussi, mais ce n’était que physique. Nous jouions à ce jeu si délectable de séduction, au chat et à la souris, aux aimants qui se repoussent puis s’attirent. Ca n’a duré qu’une nuit, deux ou trois peut-être. Disons qu’on a pris du bon temps, mais qu’on ne s’est plus trop revu, ou bien dans des circonstances différentes. Oui, on a pris du bon temps, mais… Ca s’est arrêté là, d’un commun accord, et peut-être à ce moment-là avais-tu déjà une petite amie. Je ne l’ai jamais su, et toi non plus n’as jamais su rien de moi. libre, homme ou femme.

Moi ! Bon faut que ça se soit passé avant le meurtre de Davis par contre. Donc il y a un ou deux ans environ ?

Ca marche :) par contre, j'ai écrit ce lien comme il venait mais sans aucune idée pour la suite et la relation qu'ils auraient actuellement... Peut-être après ça, comme tu me l'avais proposé, Davis aurait enquêté sur l'accident d'Eve ? Et ainsi ils se seraient retrouvés (mais dans quelles circonstances ?). Qu'en penses-tu ?

Ca me va parfaitement.
Il a été quelque peu surpris dans un premier temps de découvrir que c'était elle. Par la suite, il agit de manière professionnelle avec elle mais lui lance des petites piques par rapport à leur relation passée, même si elle a été fugace ?

Oui, cest super (: et peut-être remettront-ils ça ? 8D - sort -

Si elle se teint les cheveux, pourquoi pas. be mine ♦ eve a. london; 541477

Elle était déjà blonde auparavant hein xDD enfin c'est comme tu veux, et puis on verra bien hein (:

Oui mais avant il s'était pas fait massacré par une blonde. xD

Ah oui, pas bête xD bon alors on en reste là :)

» your star for a day ▬ eve a. london;
» is life like a game ? ♦ eve a. london;