CHERIE ♦ our time is running out.

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cherie andréa hardt
feat. Rosie Huntington-Whiteley ♥

âge : 24 YO nationalité : Allemande profession : mannequin orientation sexuelle :hétérosexuelle groupe : the deaths have a soul.

pseudo : GODDESS.
présence sur le forum : 5/7 jours.
où avez vous eu l'adresse du forum ? : Par Bazzart.
mot de fin : Je vous aime .

I FUCK LIFE.

« Nein, bitte Vati, nein ! » Voyant que son père ne comptait pas arrêter son geste, la petite fille, larmes aux yeux, courut se réfugier dans sa chambre, refermant la porte derrière elle. Au pied de son lit, elle se boucha les oreilles, tout en priant le Ciel pour que tout s'arrête. Se balançant nerveusement grâce à ses jambes en tailleur, elle sentait les larmes rouler le long des ses joues, et mourir au creux de ses lèvres rosies par le froid extérieur, qui empreignait toute la maison. Aujourd'hui, jour de Noël. Quelle belle erreur avait-elle osé commettre de croire que tout se déroulerait bien. Elle se sentait comme une criminelle, coupable d'espérance. Depuis ses quatre ans, ses parents n'arrêtaient pas de se déchirer, de se confondre en horreurs. Qui aime bien châtie bien, mais dans leur cas, l'expression était exagérée. Ils s'aimaient tellement qu'ils se détruisaient. Lui la battait un soir sur deux, et elle, aveuglée par le merveilleux putain de bonheur que l'amour procurait, préférait rester, et supporter, ayant encore foi en le genre humain. Elle pensait qu'un jour, il se retournerait, et la regarderait comme il avait l'habitude de le faire. Ce regard qui vous assurait que l'amour était la seule chose qui vous habitait. Mais rien à faire, il continuait à l'aimer dans la douleur, de la torturer pour lui prouver qu'il n'y avait qu'elle. Et au milieu de tout ça, Cherie, leur fille unique. Ce fut d'ailleurs par une journée comme celle-ci qu'elle vit le jour. Un jour de Noël, jour où ses parents s'entendaient encore. Mais dorénavant, lorsqu'elle regardait les photos dans sa chambre, elle avait du mal à croire que ces jours bénis avaient une seule fois étaient réels. Prenant son ours en peluche dans ses bras, du la pointe des pieds, elle grimpa sur son lit, et s'allongea, le serrant, l'étouffant contre sa poitrine. Et elle ferma les yeux, voulant s'échapper dans ses rêves. Elle croyait toujours que le soleil se lèverait, rien que pour elle, pour lui dire que ses soucis se sont envolés. Et pourtant, rien de tout ceci n'arriva. (...) Le lendemain, Cherie fut réveillée par le silence inhabituel qui régnait dans la maison. Les cris semblaient s'être estompés, et ni son père ni sa mère ne parlaient. Relevant doucement la tête, elle la tourna vers la porte de sa chambre, ses longs cheveux bruns lui tombant délicatement sur les épaules. Ses yeux étaient creusés par le désarroi et la fatigue de la vie, à à peine douze ans. Elle se dirigea ensuite vers le salon, et observa l'étrange scène. Là se trouvaient des policiers. Oui, vous avez bien entendu. Ils parlaient entre eux, sans se soucier de la fillette qui se trouvait là. Cette dernière ouvrit la bouche, laissant échapper un cri silencieux. Son ours tomba à ses pieds nus, et elle se précipita vers sa mère, qui se trouvait à terre, inerte. Les fameux policiers l'arrêtèrent, l'attrapant par les deux bras. Se débattant du plus qu'elle le pouvait, avancer se révéla impossible, la force la retenant étant bien trop importante. Mais à cet instant, les cris retrouvèrent leur sonorité. Elle ne put s'en empêcher. Sa mère venait de mourir, sous les coups de son propre père. Croisant une dernière fois le regard de celui qui l'avait engendrée, la fillette se sentait elle aussi capable de meurtre. « Entschuldigung Cherie, ich wollte nicht das. Ich liebe dich. » Elle lui cracha au visage, avant qu'on ne l'emmène. Comment pouvait-il oser lui dire qu'il l'aimait ? Comment pouvait-il encore tenter de lui mentir ? Cette pourriture. Tombant à genoux, Cherie fondit en larmes. Et la matinée se déroula ainsi, sans un mot prononcé de sa part. Et en début d'après-midi, une dame vint la chercher. Des services sociaux. Il fallait bien qu'elle ait des parents cette petite. Tu parles, après les premiers qu'elle avait eus, la dernière chose qu'elle souhaitait était d'en avoir d'autres.

WHAT I LIKE ABOUT LIFE IS DEATH.

uc.

PIXIE *dixit celle qui vient d'écouter sa version de Poker Face*
Merci beaucoup .

Bienvenue parmi nous
Personnellement, je préfère Rosie. Mais cela dépend du personnage.
Mirranda fait davantage... niaise et cucu alors que Rosie, c'est un peu le contraire.
Enfin, c'est mon avis. Et je ne suis pas une référence.
Préviens moi quand ton choix sera arrêté, que je puisse te la réserver.

Oh mais ça tombe très bien, je voulais prendre Rosie au départ, mais allez savoir pourquoi, j'ai douté (a) .
Brefouille, tout ça pour vous dire que ce sera Rosie, et un grand merci à vous deux & à vos avatars de oufs .

Tobias James a écrit:

Bienvenue parmi nous
Personnellement, je préfère Rosie. Mais cela dépend du personnage.
Mirranda fait davantage... niaise et cucu alors que Rosie, c'est un peu le contraire.
Enfin, c'est mon avis. Et je ne suis pas une référence.
Préviens moi quand ton choix sera arrêté, que je puisse te la réserver.

Nell Baker a écrit:

N'empêche elle se tape quand même Bloom

Je vais te réserver Rosie, dans ce cas.
Nell, tu peux dire tout ce que tu veux tu sais. Te retiens pas. J'me sens moins seule dans ma connerie Faut bien qu'elle ait quelque chose pour elle tu sais.. (a)

Tout ou presque...
Bah, il est pas sensass'. Enfin, je trouve qu'il a vachement mieux.

Tobias James a écrit:

Bah, il est pas sensass'. Enfin, je trouve qu'il a vachement mieux.

Pareillement, mais c'est quand même Bloom .
Et merci pour la réservation .

Bienvenue

Merci

C'EST TOTALEMENT LE TITRE DE MUSE, ET PUIS KSTEW, LA PLUS MAGNIFIQUE SUR TON VAVA, je dis oui à ta demande en mariage .

Merci beaucouuuuuuup !

rosie est magnifique vraiment
en plus muse ! et puis je suis sous le charme de ta fiche : allemand ! c'est rare de voir ça dans une fiche et c'est merveilleux
bref ! bienvenue !