Novalynn ; Tu m'aimes ?? Moi aussi je m'aime (a)

© microwave
novalynn baker
feat. pixie lott

âge : 24 ans nationalité : anglaise profession (études) : photographe orientation sexuelle : hétéro groupe : the alive have a life

Plus j’y pense plus je me dis que d'être une enfant de riche, n'est pas tous les jours la joie, surtout quand les géniteurs sont tout le temps absent, pour cause de réunion ou de voyage d'affaire. Longtemps j'ai entendu les autres dires que j'avais de la chance, car je pouvais faire exactement ce que je voulais quand je voulais. D'accord, ils avaient un peu raison, mais pas pendant l'enfance, car il n'y a rien à faire en ville ou dans le parc quand vous avez une dizaine d'année. J'avais peut-être tous les jouets que je désirai et même que je ne voulais pas, des habits à ne plus savoir où les mettre et encore pleins de choses inutiles, dont je me débarrassais très souvent dès qu'ils avaient le dos tournés. Durant cette période de ma vie, qui était donc l'enfance, je ne demandai pas grand-chose à part avoir des parents présents et surtout qui s'occupent correctement de moi, chose que je n'ai jamais eu. Pour que je ne sois pas tout le temps toute seule à ronchonner dans mon coin, ils se remplacèrent part des nounous et même des chiens. Franchement, maintenant que j'y repense, je plaints vraiment les personnes qui ont dû s'occuper de moi, car plus peste, on ne pouvait très certainement pas trouver. Le plus étonnant dans cette histoire, c'est que mes parents ne se sont jamais demandés pourquoi tout le monde partait quasiment en courant après seulement trois-quatre mois passés à mes côtés. Qui s'est, peut-être qu'ils auraient réagi pareils s'ils avaient dû s'occuper de moi, sauf que ça, je ne le saurai très certainement jamais. Vers l'âge de 12 ans et voyant que ma seule demande ne serait jamais exaucé, il ne fallut pas longtemps pour que je commence à faire comme si de rien n'était et paraître enchantée de leurs cadeaux pour se faire pardonner. Les pauvres étaient tellement absents, qu’ils ne me voyaient pas grandir et surtout ils ne voyaient pas l’adolescente que j’étais en train de devenir. Lentement mais sûrement, je tombai dans un trou noir qu’on aurait presque pu appeler la dépression.

Se nefut que quand j'ai atteints l'âge de 14 ans, que ma mère commença de s'occuper un peu plus de moi et un peu moins de son travail. Sauf que malheureusement pour elle, ne me connaissant pas du tout, elle faisait tout de travers. Pour elle, j'étais encore une petite fille qui ne savait rien faire toute seule et elle me surprotégeait. Vous connaissez les mamans poules ? Et bien vous faites fois trois et vous obtiendrez le comportement de ma mère envers moi. Un véritable enfer. Moi qui avais toujours voulu avoir mes parents près de moi, je commençai légèrement à le regretter, car devenant adolescente, je m'étais fait une raison et surtout j'avais pris goût à ma liberté de mouvements. Voulant quand même essayer de lui plaire, j'essaie de devenir la demoiselle que ma mère avait toujours rêvé d'avoir et même si c'était tout le contraire de mon caractère et de mon savoir-être, je fis d'énorme efforts, qui malheureusement ne payèrent pas vraiment, car à la place de me laisser plus de liberté, elle resserra encore plus l'étau qu'elle m'avait mis au cou. Moi qui ne priai jamais, je commençai de le faire, espérant retrouver mon ancienne vie, car c'était durant mon enfance que j'avais eu besoin de mes parents et plus maintenant. Maintenant tout ce qui comptait, c'était mes amis, que mes parents et surtout ma mère, détestaient plus que tout et mes soirées que j'enchaînai soir après soir, si bien entendu je n'avais pas une réception mondaine où je devais être présente et faire bonne figure. Plus j'y repense et plus je me demande pourquoi étant enfant j'avais toujours rêvé d'aller à ce genre de soirée. C'était très certainement parce qu'à cette époque de ma vie, je voyais les robes de ma mère, comme des robes de princesses et que je n'avais qu'une envie, en enfiler une et faire exactement comme elle. Chose qui se produit bien évidemment pas, quand je le voulais et maintenant que je voulais tout sauf ça, j'étais obligé de la faire. Atroce est le seul mot qui me vient en tête pour décrire ses situations.


Cela ne faisait que quelques mois que j'avais commencé ma formation de photographe, chose qui me passionnait depuis l'enfance, mais que personne ne savait et je me trouvais dans l'une des nombreuses soirées mondaine où je devais me rendre part obligation, quand je rencontrai Tawny. Se fut bien la première fois de ma vie que j'étais contente de m'y trouver, car grâce à cette rencontre, ma vie changea totalement. Enfin non pas totalement, mais quand même en partie, car il n'y avait qu'avec lui que je pouvais être totalement moi-même. Plus les mois passaient et plus nous nous rapprochions, au plus grand malheur de ma mère, ce qui me faisait bien rire. On va dire que c'était sa punition de m'avoir laissé pendant quasiment toute ma vie toute seule. A chaque fois qu'elle me disait quelque chose sur lui, je lui claquai la porte au nez et allait le retrouver un bon moment dans son lit ou ailleurs. L'un des meilleurs souvenirs que j'ai en sa compagnie est très certainement le jour où ma très chère mère, qui me pensait encore vierge, me retrouva dans son lit avec le jeune homme qu'elle détestait le plus au monde. Heureusement qu'elle n'était pas cardiaque, car sinon elle serait très certainement morte sur-le-champ. Et oui, sa petite fille toute gentille ne l'était vraiment pas et elle ne le découvrit que ce jour-là. Le plus étonnant dans ma relation avec lui, c'est que nous ne formons pas un couple. Nous sommes simplement les meilleurs amis du monde, avec quelques avantages. D'accord, je suis toujours jalouse quand il va voir ailleurs et je ne peux pas expliquer pourquoi. C'est dans ma nature tout simplement. En sa compagnie, je ne cherche pas à savoir si oui ou non je ressens plus que de l'amitié. De toute façon c'est bien simple, quand nous sommes tous les deux, je n'arrive plus à réfléchir .

pseudo :
présence sur le forum : 7/7 jours.
où avez vous eu l'adresse du forum ? Bazzart
mot de fin :

Bienvenue :) décidément, les PVs des membres ont du succès
Pixie est vraiment belle, moi qui la connaissait pas *O* bref, bon courage pour ta fiche

Cloi, y'aura bien quelqu'un pour le prendre, t'inquiètes pas :)

Bienvenue demoiselle.
Je vais te réserver la jolie Pixie.
Pourrais-tu relire ta fiche s'il te plaît? Il reste un certain nombre de fautes, d'inattention je le conçois, plutôt irritantes. Telle que des "Se fut". Et quelques pluriels oubliés ici et là. Et aussi à la syntaxe. Tu écris parfois de la même façon dont tu parles. Ce qui peut être assez dégrable, même si c'est un récit à la première personne du singulier. Si tu ne vois pas de quoi je parle, je te fournirai des exemples ;) Donc, relis bien le tout et dès que Tawny passera, il donnera son avis. Car il s'agit de son scénario et je ne suis donc pas maitre de celui-ci.

Citation :

Se ne fut que quand j'ai atteints l'âge de 14 ans, que ma mère commença de s'occuper un peu plus de moi et un peu moins de son travail.

Je ne suis tombée que sur une phrase et regarde le nombre de choses qui clochent... Etais-tu sûre d'avoir relu correctement?

Dans ce cas, je te supprime comme tu l'as demandé.
Bonne continuation à toi également ;)