| | live fast, die young ▬ RAIN. | |
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+3Tobias James Eve A. London E. Rain Ailbeart 7 participants | Auteur | Message |
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E. Rain Ailbeart
Messages : 6 Date d'inscription : 19/07/2010 pseudo : echo. crédit : (c) birdie. citations : « This is your life and it's ending one minute at a time. »
| Sujet: live fast, die young ▬ RAIN. Lun 19 Juil - 22:44 | |
| © golden_edgeElle Rain Ailbeartfeat. Emma Watson ♠ vingt ans ♠ écossaise ♠ étudie la médecine ♠ hétérosexuelle ♠ the alive have a life. ... ▬ on a rien à perdre quand on aime personneC’est si stupide d’écrire dans un journal. Comme s’il allait me répondre. De toute manière, personne ne me répond, pas même ceux qui ont acquis le merveilleux don de la parole. Ceux qui m’entourent me cache des choses, tournent autour de moi avec une étrange expression. Leurs mots ne sont que chuchotements insupportables, leurs sourires crispés et leurs gestes manquent de naturel. Ce jour-là, personne ne me répondait. Personne ne me disait où il était. Après être tombé subitement sur le carrelage du salon, il n’était plus réapparu depuis. Il avait été soudainement entouré d’une vingtaine, d’une trentaine de personnes qui étaient présentes dans la pièce. On avait demandé un lit, un médecin : et j’avais ricané intérieurement. Lui-même était médecin. S’ils avaient une question à poser à un docteur, il n’avait qu’à s’adresser directement à lui. Tout le monde s’obstinait à lui ordonner de se réveiller. Il était fatigué, ce jour-là. Un peu plus lent, un peu moins bavard. Et avant même que je ne puisse lui rapporter le verre qu’il m’avait gentiment demandé, il s’était endormi brutalement. Pour toujours. « Tu ne le reverras que lorsque ton tour viendra, Rain. » J’avais dix ans. Mon tour viendrait dans très longtemps.
Monsieur Zachary Wright, né le neuf décembre mille neuf cent soixante-dix, décédé le huit novembre deux mille. Père affectueux et médecin remarquable.
Il n’avait jamais été affectueux. Cette plaque était un mensonge. Un demi-mensonge. Car il était incontestable de dire qu'il était très doué en médecine. Mais mon père n’était pas un exemple. Il a réussi à rater mon anniversaire plus d’une fois, oublier de fêter ses années de mariage qui se cumulaient avec ma mère, manquer de nombreux repas de famille. A cause d’une chose, honorable, belle : celle de sauver des vies. Il travaillait dans un hôpital tout blanc. Il a d’ailleurs été emmené là-bas lorsqu’il a eu un arrêt cardiaque. Diabétique, quarante ans… il semblerait que l’infarctus n’était pas inévitable. Ce dernier m’a donc enlevé mon père. Mais finalement, plus j’y pense, moins je me dis qu’on me l’a emmené loin de moi. Car il l’a toujours été d’une certaine façon.
Je suis née un certain six août mille neuf cent quatre vingt dix en Ecosse. Ce jour-là, il était présent. Il m’a vu sortir, m’a coupé le lien qui me rattachait au ventre de ma mère et a entendu très clairement mon premier cri. Ils m’appelèrent Rain, et, attachés au prénom Elle qu’avait la mère de mon père, me donnèrent ce dernier comme second prénom. Ainsi naquis-je, moi, Rain Elle Ailbeart.
Le rêve premier de mon père était que je devienne à mon tour un brillant médecin. Pratique qui me plaisait, il faut l’avouer. Servir à quelque chose, exercer un métier aussi dangereux, à la fois aussi excitant et stressant… tout me plaisait dans la médecine. Il m’avait appris les bases, m’avait fait lire quelques livres etc. J’étais immunisé très jeune contre le sang, la mort, la fragilité de la santé ; j’avais conscience qu’on ne mourrait pas que de vieillesse. J’y pense maintenant, mais d’après mes derniers dires, j’ai l’impression que l’on dirait que je n’ai jamais aimé mon père. Je répondrais à cela que c’est faux. Je l’ai profondément aimé ; mais aussi, par moment, cruellement détesté. Lui, et ses priorités. Parfois, il semblait qu’il avait le monde à sauver. Et il me laissait, terriblement seule.
Je me suis rapidement habituée à être seule. D’un côté, j’y voyais des avantages ; le calme, que j’aime beaucoup, la réflexion qui se fait plus profonde, la concentration qui ne peut être dérangée… mais d’un autre côté, je n’aimais pas cela. Je voyais, ma mère aller et revenir, t’assistant avec brio en tant qu’infirmière. Vous étiez un duo parfait, dans la réussite comme dans la défaite. Il était très dur de vous faire sourire lorsque vous rentriez d’un échec ; j’essayais, en vain, de vous montrer mes bonnes notes, mon sourire, de vous enlacer, d’essayer de vous faire rire avec quelques pitreries. Mais vous n’étouffiez qu’un vague pouffement et disiez qu’il était l’heure d’aller se coucher. Même avec vous, je me sentais seule. Vous n’aviez d’yeux que pour ceux qui avaient quittés ce monde. Vous accabliez toujours l’autre de reproches, et votre duo s’effrita. A mes neuf ans, j’avais deux maisons. Nous avions toujours été très aisés, il fallait le reconnaître. Comparez à la plupart des enfants, je me plaisais à cette séparation. Au début, on ne parlait que de moi, de ce que j’allais advenir. Toute l’attention était tournée vers moi, car j’étais le bien le plus précieux qu’il fallait aujourd’hui se partager. Une semaine chez l’un, une semaine chez l’autre. Ils n’habitaient qu’à quelques quartiers. Ils ne travaillaient plus ensemble, et il semblait que c’était bénéfique pour ma mère. Développant un complexe d’infériorité vis-à-vis de lui, elle pouvait mieux exercer son métier, loin de son ombre et son léger égocentrisme. Mon père était assez vantard, mais personne ne lui reprochait vraiment cela. Au contraire, on l’y forçait presque : les compliments et les remerciements allaient bon gré lors de ses plus grandes réussites de guérison. Cette virée de l’ombre à la lumière, l’attention qu’avaient les gens sur lui m’attiraient : je voulais être quelqu’un de grand, moi aussi. J’étais faite pour être médecin, je le sentais au fond de moi. Aucune autre voie ne m’intéressait. Je suis très ambitieuse, je l’avoue. Je tiens ça de lui… En fait, je suis lui. Physiquement parlant, je ressemble à ma mère : visage fin, regard marron clair, fines lèvres, nez discret, chevelure châtain ondulée, petite silhouette, apparence fébrile… Elle n’avait jamais l’air fébrile, elle. Ma mère était un vrai petit soleil. Souriante, légère, amusante. Il est clair et net que j’ai hérité des traits de caractère de mon paternel : d’apparence froide, un peu solitaire, légèrement rancunière, trop ambitieuse, trop sérieuse, triste.
Mon père était triste. A cause de ses échecs. Il croyait pouvoir devenir parfait. Je le croyais aussi. Je pensais qu’il arriverait à être un médecin invincible. Ses dernières urgences furent des succès, mais il en oublia sa santé. Et me voilà, moi, Rain Ailbeart, vingt ans, jeune adulte, devant sa tombe un peu abandonnée. Il me manque, c’est certain. Il s’est passé tant de choses depuis qu’il est parti. J’ai réussi avec brio mes années collège et lycée. Désormais admise à la faculté de médecine d’Edimbourg, j’ai eu une vie professionnelle qui débute d’un très bon pied. Ma mère est très fière, mais en même temps, s’inquiète. Elle a peur que je ne me sente obligée de reprendre le flambeau. Or, elle se trompe. Je suis faite pour ça, je le sens, je le sais. C’est en moi. Mais je n’ai pas toujours été si sûre de moi…
Quelques années avant d’acquérir cette confiance en moi, j’ai rencontré Sunny. C’est lui qui a mis en doute toutes mes certitudes les plus inébranlables. Ce mec, c'était une putain de rencontre. La pire et la meilleure à la fois. Sunny Leo Fitzgerald. Admis depuis un an à la faculté de médecine d’Edimbourg. Excellent élève. Seul bémol : il avait une sensibilité rare, une attachement trop pur et trop rapide aux patients. Une sensibilité qui avait ses avantages et ses inconvénients. Moi, je n’y voyais que des inconvénients. On n’a rien à perdre quand on n’aime personne. Commencer à tisser des liens avec des patients en phase terminale, c’est comme caresser la patte à un chien qui crève lentement sur la route. C’est inutile, frustrant. Je le trouvais d’une stupidité incroyable. Pendant que j’étudiais les cas, il riait avec les enfants malades. Il avait un feeling étrange. Ses yeux bleus étaient rassurants, ses cheveux toujours mal coiffés les amusaient. Et lorsqu’il apprenait qu’on avait pu rien faire, il partait sur un balcon et contemplait le paysage, fumant avec plaisir une cigarette. Je l’ai rejoins une fois. Il pleurait en souriant. J’étais mal à l’aise. « Tu sais, ce gamin » a-t-il commencé, l’air grave, sans dire bonjour, ni rien « il allait au bahut à pied. Il avait une amie qui s’appelait Sara. Elle était mignonne, il paraît. Elle avait un grand sourire blanc et une façon de marcher toute particulière. En fait, elle ne savait pas marcher droit, et elle balançait toujours son sac, comme ça, tu vois ? Il m’a dit aussi qu’elle adorait le chocolat, mais seulement le noir, et toutes les épices. Elle était passionnée de dessin et elle adorait qu’il la prenne en photo. Et elle riait comme un cochon, d’ailleurs elle aimait la charcuterie et toutes les choses grasses. Pourtant, elle était mince. Pas si mince que ça en fait, mais il m’a dit qu’il ne verrait pas un corps aussi parfait que le sien. Tu te rends compte, ce gamin, il a quinze ans. Quinze ans dans le cul. Il est mort aujourd’hui, à treize heures huit exactement, et je suis pas certain qu’elle sache qu’il l’aimait tant. »
Je suis restée bête. Il connaissait la vie du gamin par cœur, il me la raconté toute la soirée. Et je me suis sentie inutile. Je me suis sentie insensible et indifférente. « Tu vois, Rain, c’est la principale différence entre nous deux. Moi je connais sa vie par cœur. Toi, son dossier. Étrangement, on se complète. » C’est la première fois qu’on m’a faite tant pleurer. Il m’a serré dans ses bras pendant plus de deux heures, et inévitablement, je crois, nous nous sommes retrouvés dans son appartement. Il m’a dénudé au sens propre comme au sens figuré et j’ai passé la meilleure période de toute ma vie. Il m’a appris que ce n’était pas grave d’être si froide, que tout n’était pas perdu. Je suis devenue plus souriante, plus sociable. Il était mon pilier. Sunny et Rain. Lui et moi. C’était mon meilleur ami. Mon amour. Mon acolyte.
On se promettait des tas de choses, un avenir qui me semblait rayonnant. Un avenir parfait. Et maintenant, me voici, moi, Rain Elle Ailbeart, de nouveau dans ce cimetière. Sunny Leo Fitzgerald, né le trente décembre mille neuf cent quatre vingt neuf, décédé le douze mai deux mille neuf. Fils souriant et affectueux, fiancé attentionné, qui sauva une vie en sacrifiant la sienne.
En tant que futur médecin, j’ai voulu tout abandonner. Je ne voulais plus croire en une guérison car je me sentais moi-même incurable. Sans toi, tout me semblait impossible. J’étais perdue, terriblement seule bien que trop entourée. Mes études ne m’intéressaient plus. Je suis devenue la même qu’avant. Froide, indifférente, seule, introvertie. Je me souviens encore de ce que tu me disais que tu tenais l’alcool et que tu t’effondrais après deux verres, ta voix, ton odeur, tes « je t’aime », la sensation de ton corps sur le mien, ta douceur, ton sourire, ton imbécillité, ton côté vantard, tes mimiques, tes pâtes dégueulasses, ton air sérieux, tes mains, ton cou, tes yeux, tes cheveux, et ce putain d’espoir que tu avais sans arrêt. Moi j’en ai marre d’espérer encore que tu entres dans l’appartement et que tu m’enlaces comme tu le faisais toujours. J’en ai marre d’espérer t’entendre à la cuisine le matin et tendre l’oreille à chaque fois, j’en ai marre de regarder la télévision et imaginer que tu es juste derrière le canapé, debout, me caressant les cheveux. J’en ai marre d’espérer t’entendre roter après avoir trop bu, j’en ai marre d’espérer que tu sois toujours envie, avec moi.
Pourquoi étais-tu présent ce jour-là ? Pourquoi t’es-tu senti obligé de te précipiter sur la route quand ce camion fonçait sur une vieille dame ? Pourquoi as-tu sacrifié ta vie pour la sienne, la sienne qu’elle a déjà tant profité ? Je sais que je ne devais pas ressentir ce sentiment-la, mais c’était pour moi impossible que de le refluer. Injustice. Injustice. Tu t’es fait piéger par ta bonté, mon amour. Ta putain de bonté !
Et je suis tombé sur une sorte de journal étrange. Coincé entre le matelas et les lattes de notre lit, dans lequel je ne dormais plus depuis un certain moment. Tu y décrivais à l’intérieur toutes tes rencontres. Toutes, sauf moi. J’avais jeté le livre rageusement. M’étais ais-je trompé ? Est-ce que je comptais vraiment aussi peu ? La douleur d’être ignorée, mise de côté, oubliée, m’électrisait. J’avais l’impression de revenir au temps où mes parents passaient devant moi sans me voir. Et quelques jours après, en faisant un ménage que je me forçais à exécuter, je suis tombé sur un énorme album photo. Je crois que c’était un cadeau que tu comptais me faire. Il n’y avait à l’intérieur que nous deux, ainsi qu’un petit texte, écrit par toi, forcément. Ton écriture avait toujours été très reconnaissable.
« Parce que c’est toi qui m’a le mieux empoisonné, ma belle. Et même si l'en est de ton devoir, ne me guéris jamais. »
Et j'ai vendu l'appartement. J'ai rangé toutes tes affaires dans ma chambre d'enfant, sous le lit, sous le regard compatissant de ma mère. Je deviendrais un bon médecin pour toi, Sunny, pour toi, Papa, pour vous, tous.
... under the skin ♠ pseudo : Echo. ♠ présence sur le forum : 7/7 jours - Moi, no-life ? pas du touut. ♠ où avez vous eu l'adresse du forum ? par partenariat avec je sais plus qui (y) ♠ mot de fin : je vous aime genre comme j'aime les frites.
Dernière édition par E. Rain Ailbeart le Mer 21 Juil - 17:34, édité 19 fois | |
| | | Eve A. London
superwoman ♦ persévérance et ravissement.
Messages : 293 Date d'inscription : 20/06/2010 Age : 29 pseudo : myu. june. crédit : nemesis(c) citations : the mistake the dead make is in tying to live again.
no way to be ♠ âge du personnage: 26 years old, ♠ activités: musician. ♠ relations:
| | | | Tobias James
la perfection ♦ propriété privée des parfaits.
Messages : 449 Date d'inscription : 13/04/2010 Age : 32 pseudo : violet, sab. crédit : georgie citations : il faut arrêter de prendre les cons pour des gens.
no way to be ♠ âge du personnage: vingt-deux ans. ♠ activités: garçon de café. ♠ relations:
| Sujet: Re: live fast, die young ▬ RAIN. Mar 20 Juil - 0:54 | |
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| | | Jack S. Beckets
Messages : 132 Date d'inscription : 26/06/2010 Age : 34 pseudo : Grunchy citations : C'est bien la pire folie que de vouloir être sage dans un monde de fous.
| | | | E. Rain Ailbeart
Messages : 6 Date d'inscription : 19/07/2010 pseudo : echo. crédit : (c) birdie. citations : « This is your life and it's ending one minute at a time. »
| Sujet: Re: live fast, die young ▬ RAIN. Mar 20 Juil - 9:33 | |
| Nyah merci à tous pour l'accueil c'est trop gentil j'vais finir par vous engloutir comme je le fais devant mes frites mwahaha. EVE ▬ comme le chocolat ? Alors là, venant de superwoman xD... TOBIAS ▬ en effet ça tombe bien XD au passage ton avatar est... JACK ▬ p'tain j'adore ton pseudo >< oh et puis, pour les frites belges... tant que ça reste des frites !! ^w^ | |
| | | Nell Baker
Messages : 121 Date d'inscription : 16/07/2010 pseudo : microwave crédit : myself
no way to be ♠ âge du personnage: 24 ♠ activités: editrice ♠ relations:
| Sujet: Re: live fast, die young ▬ RAIN. Mar 20 Juil - 12:05 | |
| Emma Bienvennuuuuue | |
| | | E. Rain Ailbeart
Messages : 6 Date d'inscription : 19/07/2010 pseudo : echo. crédit : (c) birdie. citations : « This is your life and it's ending one minute at a time. »
| Sujet: Re: live fast, die young ▬ RAIN. Mar 20 Juil - 19:29 | |
| Merci pour ton accueil Nell :D ton avatar est trop beau o.o j'adore le coloring ! | |
| | | Nell Baker
Messages : 121 Date d'inscription : 16/07/2010 pseudo : microwave crédit : myself
no way to be ♠ âge du personnage: 24 ♠ activités: editrice ♠ relations:
| Sujet: Re: live fast, die young ▬ RAIN. Mar 20 Juil - 20:32 | |
| oh merci beaucoup je l'ai fait hier | |
| | | Schuyler Brackenburies SCULLY ☮
Messages : 73 Date d'inscription : 12/07/2010 Age : 33 pseudo : Emmecie crédit : tumblr, livejournal & crocodile. citations : Avec un flingue entre les dents, on ne prononce pas les voyelles
no way to be ♠ âge du personnage: 23 ans ♠ activités: a laissé tomber la fac ♠ relations:
| Sujet: Re: live fast, die young ▬ RAIN. Mar 20 Juil - 22:45 | |
| Rain, le nom lui va si bien, à Watson Bienvenue et bon courage pour ta fiche | |
| | | E. Rain Ailbeart
Messages : 6 Date d'inscription : 19/07/2010 pseudo : echo. crédit : (c) birdie. citations : « This is your life and it's ending one minute at a time. »
| Sujet: Re: live fast, die young ▬ RAIN. Mer 21 Juil - 0:26 | |
| NELL ▬ Bah bravo parce qu'il est... kyah <3 Tu utilises photoshop ? *mode graph addict on* SCHUYLER ▬ ton pseudo *w*! Merci pour l'accueil et l'encouragement en tout cas ! (je trouve aussi que Rain va bien à EW :D) | |
| | | Cloi Keirk
I'm the devil princess ♦ The horror child
Messages : 140 Date d'inscription : 28/06/2010 Age : 31 pseudo : Cam crédit : Tsugaa citations : Est-ce le coup, ou le fait qu'il soit porté qui nous blesse ?
no way to be ♠ âge du personnage: 19 coccinelles ♠ activités: Cour par correspondance et Pianiste ♠ relations:
| Sujet: Re: live fast, die young ▬ RAIN. Mer 21 Juil - 17:00 | |
| Quel magnifique avatar Bievenuue | |
| | | E. Rain Ailbeart
Messages : 6 Date d'inscription : 19/07/2010 pseudo : echo. crédit : (c) birdie. citations : « This is your life and it's ending one minute at a time. »
| Sujet: Re: live fast, die young ▬ RAIN. Mer 21 Juil - 17:36 | |
| Merci beaucoup pour l'accueil ! J'en profite pour dire que... MA FICHE EST FINIE ! bon, j'avoue, j'ai fais du caca en boîte t_t s'il y a le moindre problème, je suis à l'écoute \o | |
| | | Tobias James
la perfection ♦ propriété privée des parfaits.
Messages : 449 Date d'inscription : 13/04/2010 Age : 32 pseudo : violet, sab. crédit : georgie citations : il faut arrêter de prendre les cons pour des gens.
no way to be ♠ âge du personnage: vingt-deux ans. ♠ activités: garçon de café. ♠ relations:
| Sujet: Re: live fast, die young ▬ RAIN. Mer 21 Juil - 20:12 | |
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| | | E. Rain Ailbeart
Messages : 6 Date d'inscription : 19/07/2010 pseudo : echo. crédit : (c) birdie. citations : « This is your life and it's ending one minute at a time. »
| Sujet: Re: live fast, die young ▬ RAIN. Mer 21 Juil - 20:41 | |
| Merci beaucoup | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: live fast, die young ▬ RAIN. | |
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| | | | live fast, die young ▬ RAIN. | |
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